Poema manuscrito por Mário de Andrade

Cota
0002.000.016
Tipologia
Texto Literário
Impressão
Manuscrito
Suporte
Papel comum
Data
1954
Idioma
Conservação
Bom
Imagens
2
Observações

Documento anexo ao 0002.000.015

Acesso
Público
Poème qui est dit pendant la préparation, par un chasseur de lion, d'un poison pour sa flèche. FLATTERIE AU POISON KAZAMA Le poison fais tourner la tête. L'entrave empêche de partir. Si on a lancé la flèche, es si la flèche frappe juste, c'est comme la mouche du cheval: la mouche qui a piqué un cheval, piquera un autre cheval. La flèche est pareille à la femme enceinte: elle aime la viande. Même si la flèche ne perce pas la peau, on meurt. Si elle perce um peu, on meurt. Si elle entre bien, on meurt. Si elle touche à peine en retombant, on meurt. Si ce n'est pai mon sang, n'importe quel sang, tue-le, Je te le donne! C'est la peau que j'allume, c'est le feu que je prends. L'ombre est brûlant. Poison, plus fort que le fusil, plus fort que le tonnerre plus fort que feu, N'importe qui, tue-le! Je te le donne. Si ce n'est pas mon sang. (CHANTS NAOUSSA) Y descansó como una roca o como un muerto se Ourmiá.

Poema manuscrito por Mário de Andrade em francês e uma frase em espanhol escrita por outra pessoa. Faz parte de documentos da «Celebração em Lisboa da Jornada - 21 de Fevereiro 1954»

A publicação, total ou parcial, deste documento exige prévia autorização da entidade detentora.

Nomes referenciados